La petite histoire D’Arts et de rêves… Chapitre 4
Voici le quatrième chapitre de la petite histoire D’Arts et de rêves. Dans l’infolettre de juin, vous avez peut-être été surpris par la course contre la montre et les nombreuses étapes qui ont mené au Symposium international de sculptures de Sutton — Monumentum, du 7 au 16 août 2015.
Chapitre IV
L’organisme grandit et les corvées se poursuivent…
En septembre 2015, on engage une collaboratrice. Karina Sasseville travaille d’abord deux jours semaine pour seconder Nicole, assister aux comités, s’occuper de la correspondance et des courriels. Puis trois jours. Et maintenant, Karina travaille 32 heures semaine pour l’organisme et elle est devenue franchement indispensable !
En octobre, on fait une corvée déménagement de meubles. Il faut dire que D’Arts et de rêves avait reçu au cours des mois des dons de meubles en prévision de l’aménagement de la résidence d’artistes. Tout avait été temporairement remisé dans le garage de Nicole et d’Henri mais il fallait déplacer ces meubles et effets meublants avant l’hiver. Appel aux bénévoles et par un samedi pluvieux, plusieurs voitures avec remorques et équipes de déménageurs se dirigent vers Glen Sutton. On a chargé les remorques, recouvert le tout de bâches et on s’est dirigé vers le 57, rue Principale Nord. La résidence serait bien équipée
En novembre, on modifie à nouveau les règlements (que l’on avalisera à la prochaine AGA) pour ajouter deux autres membres au CA : Michèle Bazin, expertise en communications, et Jacques Parenteau, architecte, qui prendra le dossier aménagement paysager. Il y a maintenant sept membres au CA et ce nombre sied parfaitement à nos trois co-fondateurs.
En juin 2016, Michèle Bazin quitte son poste au sein du CA et est remplacée peu après par Richard Leclerc, un autre spécialiste en communications, bien connu des Suttonnais et Suttonnaises.
Rénovation de la grange
Hiver 2015-2016
Nicole avait vu le potentiel de la propriété dès sa première visite et avait pris plaisir à imaginer la résidence d’artistes et le parc culturel. Elle avait dessiné des plans qu’elle avait soumis en mai 2015 à la Ville de Sutton afin d’obtenir les permis nécessaires à la démolition et à la rénovation. On lui a demandé quelques modifications, ce que Nicole s’est empressée de faire, et les dés étaient joués. Le personnel de la ville a été fort coopératif, eux aussi croyaient au projet et de plus croyaient en Nicole.
À la fin de 2015, Nicole élabore des plans plus détaillés pour la portion résidence-atelier dans la grange. On trouve aussi une architecte paysagiste, Emmanuelle Tittley, pour concevoir un plan d’aménagement quinquennal; elle travaillera avec Jacques Parenteau du CA et les membres du comité aménagement paysager. Les plans de la résidence atelier et du parc culturel font en sorte qu’il est de plus en plus facile à visualiser le tout.
Puis à l’hiver, Nicole fait appel à un entrepreneur pour terminer les travaux de la résidence-atelier (ils avaient été commencés à l’été 2015, suspendus pendant le Symposium et continués avec un entrepreneur différent à l’hiver 2015-2016). Il y a eu quelques surprises comme dans tout projet de restauration, rénovation, mais tout le monde a survécu au stress et la résidence atelier a vu le jour à temps pour l’inauguration officielle du 18 juin 2016.
Et en 2016 ça continue…
Les corvées attirent toujours des bénévoles. Il faut
- acquérir et planter des arbres;
- aménager des espaces fleuris;
- installer du mobilier de jardin–tables et bancs;
- installer les deux sculptures en fer prêtées par Pierre Dupras et celle en marbre donnée par Anke VanGinhoven;
- aménager la résidence atelier.
Inauguration du 18 juin 2016
Étiez-vous des nôtres lors de l’inauguration du 18 juin 2016 ? L’infolettre de décembre 2016 décrivait cette magnifique journée et incluait quelques photos des artistes et dignitaires présents.
Ce n’était que le début d’une belle aventure…
Qui sont ces bénévoles,
ces commanditaires, ces donateurs ?
La liste est tout à fait imposante… On compte plus de 125 bénévoles qui offrent de manière ponctuelle leurs services pour différentes tâches. Ils sont pour la plupart à la retraite, beaucoup d’expérience, beaucoup d’expertise, beaucoup de cheveux gris, mais aussi beaucoup de bonne humeur et de bonne volonté. Travailler avec ces bénévoles est un pur plaisir : vous n’avez pas encore tenté l’expérience, gardez l’œil ouvert et si vous voulez aider, vous trouverez sûrement une occasion de vous amuser avec nous.
La Caisse populaire de Brome-Missisquoi a aussi offert « les bras » de ses employés en les invitant à donner un coup de main sur le terrain D’Arts et de rêves. Une manière sympathique de redonner à la communauté !
Puis il y a les entrepreneurs locaux qui sont devenus de précieux collaborateurs. Nombre d’entrepreneurs–arpenteur-géomètre, électricien, plombier–ont contribué de leur temps et expertise.
Des gens qui travaillaient à titre de contractuels et qui touchaient des honoraires ont aussi soutenu D’Arts et de Rêves en récupérant des matériaux dont ils ont fait bon usage au 57, rue Principale Nord.
Des commanditaires et des subventions ont grandement facilité la croissance de l’organisme : Québécor, la MRC Brome-Missisquoi, la Caisse populaire Desjardins Brome-Missisquoi, le Groupe (Guy) St-Louis, le MAMOT, le Pacte de Brome-Missisquoi, la ville de Sutton, Emplois et stages pour étudiants.
D’arts et de rêves remercie ses généreux donateurs dont madame Claire Léger et monsieur Pierre Dupuis, et tous ceux dont vous trouverez les noms en cliquant sur ce lien.
Dans le chapitre 5 de La petite histoire D’Arts et de rêves, vous aurez l’occasion d’en connaître davantage sur la structure administrative et les comités qui font rouler cet organisme.
À suivre…